Note from the Editor.

Bienvenue sur notre blog,

Cécilia la fondatrice de l’agence partage sur notre blog des lieux de vie, des expériences traversées, des rencontres avec les personnes qui jalonnent son parcours privé et professionnel de la Provence à la Suisse en passant par Tahiti, St Barth et New York.

Nous remercions notre agence web Suisse Heed pour ce projet. Le site est admirablement réalisé sous forme de magazine très épuré.

Chaque semaine retrouvez des interviews et des rencontres de personnes influentes dans leur domaine, d’amis, de clients et nos My Lola Travel Escape.

 

Welcome to the blog of My Lola PR,

Cecilia, the founder of the agency shares on our blog locations where she spends her time, experiences, meetings with people who marked her private and professional life from Provence to Switzerland via Tahiti, St Barth and New York.

We thank our swiss web agency Heed for this project. The site is beautifully realized to achieve a refined magazine look.

Every week, you will find interview and meeting of influential people, friends, clients and our My Lola Travel Escape.

 

Pic credits: Jeremy Spierer, Michael Gramm and Cecilia

Jeremy Spierer. Shooting et Street Art à Genève.

Rencontre au bord du Léman avec le photographe Jeremy Spierer.

 

Diplôme de l’école d’avocature de Genève et d’un diplôme de Duke university of Law, tu exerces tes talents d’avocat au service légal d’une grande banque, mais peux tu nous dire d’ou vient ta passion pour la photographie ? 

Mon papa me raconte souvent cette histoire. J’étais au cirque avec lui quand j’étais enfant et après le spectacle il m’a demandé qu’est ce que tu as préféré. J’ai répondu la lumière. Depuis tout petit, je suis fasciné par les belles lumières et ca m’a poursuivi jusqu’au jour ou j’ai décidé d’apprendre la photo. J’ai appris seul et je suis très vite descendu dans la rue. La, j’ai photographié les gens ou je vis et lors de mes multiples voyages en Israël, en Amérique du sud, en Europe et bien sur a Genève ou je vis. En 2012, j’ai gagné le 1er prix de la photographie de Paris pour ma série “Faith on the Jordan River”. Cela m’a conforté encore plus dans l’idée que je devais poursuivre dans ma passion.

 

Quel est ton terrain de prédilection ?

Définitivement la rue. J’adore photographier dans la rue, dans des endroits que je ne contrôle pas parce que c’est la que les plus belles choses peuvent se produire de manière instantanée. Quand on laisse aller à l’aléatoire, on a souvent des miracles qui se passent. Il faut être prêt à capturer ces instants, les anticiper, savoir les repérer, avoir les bons outils et ensuite les figer a jamais dans le temps. C’est ce que je fais, j’essai de capturer des moments et de les partager.

 

Le Leica, objet de légende,  peux tu nous dire pourquoi aimes tu photographier avec  ?

C’est mon objet fétiche, il fait partie de moi, c’est l’extension de mon œil et de mon bras. Je l’ai adopté et il est venu a moi comme une évidence. C’est bien sur un objet de légende porté dans les mains des plus grands maitres de la photo et je voulais ressentir cette expérience. Il est parfait pour moi car il est compact, très ergonomique, confortable et beau. Les images sont magnifiques, les couleurs sont d’une rare précision et les optiques justes somptueuses. Il est inégalé aujourd’hui dans ce format et je ne m’en séparerais jamais.

 

Ton style, le Street Art? 

Je ne me limite pas à un type de photo mais je veux toujours faire de l’art. Dans la rue, je peux capturer tant une figure abstraite qu’un portrait. Je photographie  des moments instantanés de vie urbaine. Je suis également sensible à la mode, aux belles femmes donc le mieux c’est de les mettre dans la rue avec des beaux habits et de les photographier quand elles ne s’y attendent pas ! Cela me permet de garder mon style spontané en ajoutant un élément de luxe et de mode.

 

Quelles sont tes inspirations et d’ou viennent elles ?

Mes inspirations viennent de plusieurs sources tant de la peinture de certains grands maitres, en particulier les impressionnistes, que du street art contemporain (collage, graffitis etc.). J’adore Monet et Pissaro. Au début du 20ème siècle, ces peintres ont aussi retransmis des moments spontanés de la vie quotidienne. Ces œuvres que j’ai vu dans des musées m’ont beaucoup inspiré et j’ai voulu ensuite les reproduire à ma façon au moyen de la photographie. J’ai bien sur quelques grands maitres de la photo qui me touchent particulièrement Helmut Newtown, Ellen Von Unwerth, Sergio Larrain, Henri Cartier Bresson. Je m’inspire de belles choses, mais je laisse bien sur cours à mon imagination et au naturel.

 

Tel Aviv est ta deuxième maison après Genève , peux tu nous dire en quoi cette ville t’inspire ?

Tel Aviv est pour moi une ville dans laquelle je me ressource. C’est une ville vibrante, vivante. Je passe quelques jours la bas tous les trois mois. Cela me donne plein d’énergie et d’envies. Les gens sont tellement ouverts, je fais à chaque fois de belles rencontres. C’est une ville qui ne dort jamais, pleine d’art, de culture et d’amour. Je ne m’en lasse pas j’y retourne le plus souvent possible.

 

Tu as exposé le 8 juin dernier à l’espace Foound à Genève. Raconte nous. 

J’ai exposé à Genève en 2015 au Bal des Créateurs  le 1er volet de l’exposition Urban Decay avec Eliran Ashraf, un designer mode israélien. Le deuxième volet a eu lieu le 8 juin dernier a l’espace Foound. Des photos d ‘affiches que j’ai prises dans la rue au hasard de mes voyages, des affiches déchirées par le temps, une décomposition urbaine, des portraits de femmes que j’ai photographié dont Eliran s’en est inspiré pour créer des patchworks de textile et des habits qui répondent aux photos. CP

 

Quels sont tes prochains projets? 

Une exposition à New York au printemps prochain. 🙂

Actuellement, je travaille avec l’agence My Lola PR sur une série de photos de scènes artistiques intégrant le luxe dans des moments de la vie quotidienne particulièrement en suisse. Nous avons intitulé ce projet The Swiss Daily Luxury.

 

profile pic Jeremy by Victor Bezrukov

Rencontre avec Amélia Tavella à Aix en Provence.

Rencontre avec l’élégante architecte corse Amélia Tavella. Café divin sur les terrasses d’Aix en Provence.

 

Amélia, ou es tu née et ou as tu grandi? Raconte nous ton histoire. 

Je suis née à Ajaccio, en Corse. J’ai eu l’occasion de dire combien mon île natale avait pu influencer mon caractère et mon architecture. Je suis encore aujourd’hui très attachée à la Méditerranée. Je pratique une architecture en quelque sorte insulaire, et le soin que je mets à l’inclusion d’un bâtiment dans un lieu, à la surface de contact entre sa paroi et l’espace environnant, n’est pas sans lien avec la ligne mouvante de contact entre la rive et l’eau sur les rives de la Corse. J’ai été modelée cognitivement par ces paysages.

 

Ou est tu basée? 

J’ai une agence d’architecture à Aix-en-Provence, dans le sud de la France, et j’en ai créé une autre à Ajaccio. Mais en réalité je passe ma vie dans l’avion et dans le train. Je me déplace tout le temps entre la Corse, la Provence et Paris, où j’œuvre également beaucoup. J’aime cette transition perpétuelle entre différentes villes, différents paysages, différentes ambiances, différentes histoires. Le mouvement qui me fait passer d’un lieu naturel à un grand espace urbain me plaît, et c’est dans ce moment que je concentre mon énergie et ma créativité.

 

Explique nous tes agences d’architecture.  

J’ai créé ma première agence à Aix-en-Provence il y a déjà quelques années. Cela m’était tout naturel car j’ai toujours voulu travailler pour moi-même. J’imagine que c’est la même chose dans le domaine des beaux-arts : on apprend beaucoup dans l’atelier d’un grand maître mais il arrive un moment où il convient de sortir de l’atelier et de travailler par soi et pour soi. Il était nécessaire pour moi de faire en sorte de pouvoir inventer ma propre architecture et le meilleur moyen de le faire était de fonder ma propre agence.

La seconde agence que j’ai créée consistait en un retour aux sources, en quelque sorte. J’ai tenu à travailler en Corse depuis la Corse, à m’y réinstaller complètement afin d’y proposer une architecture dont les racines n’en soient pas déplacées. Force est de constater que je n’ai pas été pervertie par mon absence car je suis à nouveau chez moi, je l’ai pour ainsi dire toujours été, en Corse, où j’ai la joie de travailler sur des projets qui sont parmi mes plus stimulants.

 

Comment décrirais tu ton travail? 

Je ne veux pas en dire trop parce que l’architecture, en un sens, est à tout le monde, et elle est aussi seule au monde, parce que l’architecte n’est pas toujours là, et n’a pas à toujours être là, pour en expliquer le sens. Du reste, une architecture qui aurait besoin d’être expliquée à l’usager a en quelque sort manqué son coup. Une fois qu’un bâtiment existe, ce n’est pas à l’architecte d’en imposer une explication ou une description. C’est à chacun de vivre son aventure esthétique avec lui. Je dirais simplement que je recherche avant tout à ce que mon travail soit contextuel. J’aime apporter une architecture sensuelle et riche de significations dans un lieu intense de beauté et de mémoire.

 

Comment décrirais tu ton style? 

Je ne sais pas si j’ai un style reconnaissable. Il n’est pas forcément bon, en architecture, de vouloir absolument faire une œuvre dans sa continuité, surtout lorsqu’on veut proposer des bâtiments contextuels. Je peux, en revanche, parler de mon processus créatif qui, lui, est toujours le même et dont je crois qu’on devine quelque chose, une trace qui serait comme une signature récurrente, dans mes ouvrages.

Je perds toujours beaucoup de temps à m’imprégner de l’esprit du lieu où je vais bâtir. J’en étudie aussi l’Histoire. Une fois que le lieu a laissé son empreinte en moi je choisis les bons matériaux, des matériaux bruts et nobles, dont je cherche à révéler la beauté par ma collaboration avec les artisans. Je suis très attachée au travail des artisans. Ce sont véritablement eux qui soutiennent l’architecture. Ils sont capables de faire des chefs-d’œuvre, vous savez.

 

Les matériaux que tu utilises?

J’aime les matériaux bruts, contextuels, nobles et travaillés par les hommes de l’art. La pierre, le laiton, le cuivre, le bois… Leur choix motive mon geste artistique. Lorsque j’ai fait une école, en Corse, qui allait se glisser dans un grand espace naturel entre deux chênes centenaires, j’ai senti que le matériau le plus adapté serait le bois, et je me suis formée, de manière improvisée, auprès d’un artisan exceptionnel, à la construction en bois. C’est très complexe, très délicat, c’est aussi très beau. J’avais mille choses à apprendre sur le sujet mais cela s’imposait à moi parce que n’importe quel autre choix que celui du bois lui aurait été inférieur. En ce moment je travaille sur la mise en espace de Bastide, et j’ai mis au point avec un artisan extraordinaire une manière inédite de travailler la pierre au sol : un trompe l’œil qui rappelle les chevrons d’un parquet.

 

Ou peux ton découvrir ton magnifique travail?

Probablement en Corse. J’y ai bâti une école avec du bois, un centre culturel à Porticcio avec de la pierre. Je suis en train de réhabiliter un couvent magnifique à Sainte-Lucie de Tallano avec du cuivre. Ce sont des projets qui me tiennent à cœur. Il y a aussi plusieurs séries de logements collectifs à Aix-en-Provence que je fais avec autant de rigueur et de plaisir. C’est dans cette même ville que je fais la boutique de Bastide. C’est une boutique dédiée au soin du corps qui est installée dans un vieil immeuble au cœur d’Aix. J’y ai fait mettre à nu des poutres de bois splendides, une arche de pierre ancienne, et j’y ai fait installer un lavoir de pierre merveilleux, taillé dans une seule pièce de calcaire, un chef d’œuvre. J’ai voulu proposer un développement du thème des lavandières, ces femmes qui venaient au lavoir laver le linge. Il y a un détournement de cet objet de labeur en un objet de plaisir, de détente et de beauté mais toujours riche d’Histoire, de récit, de sens.

 

Quels architectes vénères tu?

Il y en a tellement. Je parlerais volontiers d’architectes comme John Pawson qui a travaillé à un monastère en République Tchèque qui est magnifique. Je parlerais aussi avec plaisir de Peter Zumthor dont je trouve l’œuvre passionnante. Zumthor est aussi, en plus d’un architecte génial, un ébéniste. Vous voyez qu’il y a toujours cet attachement à l’artisanat, à la connaissance et au savoir faire artisanaux, qui m’intéressent.

Mais je voudrais aussi parler d’architectes méditerranéens. Il y a l’agence Aires Mateus au travail de laquelle je suis très attachée. J’admire ces architectes qui ont su tracer leur chemin, réaliser de petits projets à la perfection au point d’y avoir gagné une visibilité internationale. Il y a une pureté dans ce processus créatif. Il y a aussi par exemple Alberto Campo Baeza, qui est espagnol et dont je trouve le travail stimulant.

Il ne faut pas oublier l’architecture passée. De toute manière, puisque l’architecture est faite pour demeurer longtemps, comment pourrions-nous l’oublier ? J’aime l’abbaye du Thoronet par exemple. J’y emmène mes filles le week-end. C’est un lieu de beauté absolue.

 

Ou puises tu ton inspiration?

 Dans mes déplacements, dans le train et l’avion, dans les moments de transition qui rythme mes semaines entre Aix-en-Provence, Paris, la Corse. Dans l’art. Dans les livres. Dans mon passé, mon enfance vécue dans mon île natale. Dans le temps. Je laisse beaucoup travailler mon inconscient. Je me laisse imprégner des lieux, des projets. Je veux que l’âme des lieux se dépose en moi comme un limon. Je dirais qu’il y a une différence entre puiser de l’énergie et puiser de l’inspiration. Je sais où puiser de l’énergie. Quant à l’inspiration, je vais moins la chercher que je ne la laisse se déposer en moi.

 

Quel est le pays que tu chéris plus particulièrement? 

Je serais bien en peine de vous répondre. Je voudrais pouvoir bâtir partout. Non pas pour imposer mon architecture à n’importe quel environnement mais bien au contraire pour la soumettre à ce que chaque lieu a de spécifique. Pour la soumettre à des paysages, des Histoires, des populations, des environnements urbains… J’ai l’ambition d’inventer des architectures contextuelles, et ma préférence est alors secondaire. Un architecte ne devrait pas trop donner son avis sur les pays et les villes. Il devrait faire de son mieux, voilà tout.

 

Qu’aimes tu le plus en Corse? A Aix? 

 La Corse fait partie de moi. Aix-en-Provence est un peu particulière. C’est une ville du sud de la France, une ville provençale, très différente de Marseille par exemple. Il y a à Aix un art de vivre, un charme, une douceur de vivre qui me plaisent. Un climat, des arômes, des ambiances. C’est aussi très loin, véritablement loin, de Paris, mais il est possible de se rendre à Paris en très peu de temps depuis Aix. La Méditerranée, quant à elle, n’est pas loin.

 

3 mots pour décrire ta passion pour l’architecture  ?

 Charnelle. Sensuelle. Incarnée.

 

Tes prochains voyages ? 

Je vais passer du temps à Rome, dormir à la Villa Médicis. Cette perspective m’enchante. C’est un lieu extraordinaire, artistiquement indépassable. CP

Swiss Daily Luxury The Picnic Chic

Swiss Daily Luxury est une série de photos de scènes artistiques intégrant le luxe dans des moments de la vie quotidienne particulièrement en Suisse. Ce projet est à l’initiative du photographe Jeremy Spierer et Cecilia Pelloux de l’agence de communication My Lola PR. Chaque prise de vue se focalise sur un thème différent dont l’objectif est de raconter une histoire.

Le Picnic Chic fait suite à l’After Party. La maison rémoise Veuve Clicquot, le joaillier Bulgari et Mercedes AMG avec le Groupe Chevalley ont été les partenaires de ce projet. Les accessoires proviennent de l’enseigne Schilliger et les fleurs de la boutique Kalis à Genève.

L’artiste a su capter l’atmosphère printanière, raffinée et joviale de ce pic nic chic.

Jeremy Spierer est né a Genève. Avocat de formation, il exerce actuellement au sein du service légal de la BNP Paribas. Jeremy a reçu trois prix remarqués dans le monde de la photo dont le premier prix de la photographie de Paris en 2014 pour sa série « Faith on the Jordan River ».

                 

Meeting with architect Johannes Zingerle in St Barths.

Meeting in Saline with architect Johannes Zingerle from Design Affairs.

 

Where are you born and where did you grow up? tell us a little bit about you.

I am born in Merano in the italian Alps where i finished high school, then i moved to Austria to study architecture at the technical university of Vienna. I travelled with scholarships around the world until i got hitten by hurricane Luis in St Barths.

You live and work in St Barths. Tell us the story behind about your architecture agency?

Design Affairs started with an idea of three friends to create a creative pool for design and architecture in St Barths.

How would you describe your work?

I am a passionate. Its a game for me to create happy spaces.

The materials you use?

Up to the locations.

Where could we find your beautiful work?

Where needed and where asked.

How would you describe your style? 

Vagabondish.

In which well known architects do you have adoration with?

Le Corbusier, Marcia Kogan.

Where do you take inspirations from?

Travelling and imagination

What  is your favorite city and country?

The last one I was in …but for food definitely Italy.

What do you like the most in St Barths?

Saline beach at night with a bottle of Ruinart. 🙂

3 words to describe St Barths?

Saline – Grand Fond – Toiny .

Your next travels?

South America. CP

Credit Pics: Jean Philippe Piter

Notre St Barths intime.

St Barth, pour un petit groupe de privilégiés, c’est comme un bijou précieux bien gardé dans un écrin de soie. Pour les initiés, c’est une simple Antilles, port d’attache ou escale des voiliers, portés par le souffle des alizés, depuis les débuts de la navigation transocéanique.

Christophe Colomb accoste à bord de sa caravelle sur ce petit caillou de 21 km2 le 11 novembre 1493. Il baptise l’ile du nom de son frère Bartholomeo. L’île attire tour a tour Espagnols, Français, Hollandais, Suédois et devient française en 1878.
L’installation du milliardaire américain Rockefeller et du lumineux danseur russe Rudolf Noureev apporte à ce petit territoire sa célébrité.
Aujourd’hui, 9000 habitants jouissent d’un environnement calme et sécurisé. Tout le monde connaît le Saint Barth « strass et paillettes » avec ses célébrités, ses milliardaires et son petit port Gustavia où les yachts aussi gros les uns que les autres s’accumulent pendant les festivités de fin d’année. En revanche,  le Saint Barth côté nature reste à découvrir et à explorer. Visite guidée ! 

Découvrez Lorient, la plage des surfeurs et des familles. Sereine et authentique. Avec sa case locale colorée rouge et jaune, siège du club des surfeurs de l’ile qui s’ouvre sur la plage. On accède à la plage par un petit chemin longeant le charmant cimetière de Lorient. Coucher de soleil magnifique en fin de journée. 

Vous serez aussi séduit par la plage de la Petite Anse à la pointe nord occidentale de l’île. Un lieu intime très peu fréquentée. Un régal. 

De là, empruntez le sentier qui vous amène à la baie de Colombier et grimpez jusqu’au point de vue, enfin redescendez par le chemin de la source, une balade au cœur du St Barth local. Vous croiserez des élevages de poules et des vieux St Barth qui n’ont jamais quitté leur île et même leurs quartiers ! Incroyable nostalgie. 

L’île offre la possibilité de randonnées sportives sur les sommets avec accompagnateur aguerri. Mon coup de cœur, la baignade dans les eaux cristallines des piscines naturelles de Grand Fond et Toiny de bon matin. Amateurs de faunes tropicales, attention vous serez surpris par les tortues, iguanes, cabris sauvages et colibris.

St Barth n’échappe bien sur pas à la tendance de la nourriture bio et jus à tout va avec l’ouverture de plusieurs boutiques.  Vous avez aussi toujours l’option du chef bio à votre villa ! Testez la cure de jus bio et autres plats végétariens de Kristine Kelly préparées avec les meilleurs produits sains de l’ile. Californienne installée a St Barths avec sa famille depuis cinq ans, Kristine a introduit cette tendance qui manquait à l’ile. Sa société Plant Based Daily élabore des plats sains à emporter disponible sur l’ile.  Son mari Chris détient le restaurant le Quarter dans Gustavia, allez savourez wraps et glaces sans lait. Plats certifiés par le chef végétarien américain star Matthew Kenney. 

Tips beauté. Courez au Spa de l’Oasis, Sandra la propriétaire depuis 2008 vous accueille dans un lieu intimiste et impeccable. Elle chouchoute ses clientes. Optez pour une manucure et pédicure parfaite avec un choix infini de couleurs de vernis. Terminez par un gommage complet du corps et un soin LPG.  Détente garantie. Pour un massage effet détente et relaxation optez pour le « deep tissue » de Sarah. Américaine amoureuse de St Barths, Sarah a créé Juvenate St Barth et vous délivre des massages exceptionnels. A recommander ! 

Pour une détente complète, séjournez dans l’une de ces deux villas. La villa Amancaya sur les hauteurs d’Anse des Cayes offre luxe calme et volupté. Nichée dans un jardin de palmiers et flamboyants, la villa Amancaya est un gem caché pour tout visiteur. Huit chambres dans une ambiance tropicale et zen. Atmosphère balinaise au rendez-vous. 

Autre coup de cœur, la villa Palm Springs dans les collines calmes de Gouverneur. Villa contemporaine dont l’architecture s’est inspirée des cubes de Dame Zaha Hadid‎, ambiance californienne ou la case antillaise est revisitée. Une villa de quatre chambres ouverte sur l’extérieur ou chacun trouve son intimité. Le must : ultime spot pour des couchers de soleil a n’en plus finir. 


Pour votre choix de villégiature, St Barth offre une grande variété de villas et d’hôtels à l’architecture très différente.  Sûrement le résultat d’une concurrence acharnée des cabinets d’architectes toujours plus nombreux sur ce petit caillou de 21km2. Bien que l’ile semble avoir préservé une unicité pendant longtemps, depuis une quinzaine d’années la tendance est aux villas modernes dont le style n’est pas toujours cohérent avec l’environnement local. 

Maintenant, préparez vos valises et partez découvrir ce joyau des caraïbes. Vous n’en sortirez pas indemne ! CP 

Pour plus d’info et organisation d’un voyage/For more info and booking trip: 

contact@mylolapr.com

Credit Pics: Jake Rosenberg, Tommy Ton, Yvan Rodic.