Summer Essential: La Prairie’s new Skin Caviar Essence-in-Foundation

Let me admit that I am addicted to one of the most luxurious beauty brands called La Prairie. Their skincare collections offer some of my favorite products. La Prairie’s iconic Skin Caviar Collection is the one I love the most as its firming and lifting benefits effectively prevent visible signs of skin aging. I have tried their serums, day and body creams and let me tell you that I have never been disappointed. I love how the products smell and how the textures leave my skin so gently soft. I appreciate the beautifully rich textures and the way they instantly absorb into my skin.

In May 2018, La Prairie introduced the first compact foundation infused with Caviar Water for complexion perfection. This novelty coming from the Skin Caviar Collection has recently been the final step of my daily skincare ritual. It leaves my complexion feeling smoother and I notice how the moisture levels have improved ever since I started using it. This foundation has been perfect for my skin thanks to its super light texture. Because of it being easily buildable, I can go either for my favorite natural-look or even for a seamless finish when applying a medium coverage to cover up uneven areas or redness.

During hot summer days, it can occur that your foundation gets cakey. What I really appreciate about this sleek, portable, refillable object of design is that you can easily swipe the anti-microbial puff for touchups on the go if you are in need of a fresh complexion. What I also see as a great benefit is that it protects the skin from UV damage due to its sun protection factor 25 and includes defense against UVA rays.

With perfectly matched shades, Skin Caviar Essence-In-Foundation SPF 25/PA+++ is available in 8 different shades. I use the shade Pure Ivory N20.

 

Esthemedis, un centre médical esthétique sur les hauteurs du lac Léman.

A 30 minutes de Genève on passe Nyon, dans le canton de Vaud, pour quitter l’autoroute et grimper les premières pentes du jura suisse.  On franchit la porte du centre Esthemedis situé dans l’enceinte de la très chic Clinique de Genolier. L’observation du paysage vaut déjà le détour : une vue imprenable sur le lac Léman avec en toile de fond le Mont Blanc : du bleu, du blanc, du vert plein les yeux qui donnent un sentiment de quiétude.

Fondé en 2008, le centre médical esthétique Esthemedis a su s’adapter au cours de ces dix dernières années à la pointe de la technologie et de la science médicale.

Une équipe de professionnels médicaux formés aux meilleures techniques ayant le souci de s’adapter pour servir au mieux chaque client est dirigée par Tatiana Peuvrel. Au premier étage, a peine franchi l’ascenseur on pénètre dans ce lieu d’emblée apaisant. Une ambiance épurée, saine et reposante y règne. «Le but est que nos clients se sentent à l’aise et prêts à découvrir le meilleur des soins” commente Tatiana. « Nous offrons des solutions lasers, des traitements pour le visage et pour le corps, des soins anti-age et des traitements minceurs» ajoute la directrice. L’objectif est que chaque client reparte totalement satisfait grâce à des solutions personnalisées, exclusives, non invasives pour le visage et le corps.

Le centre utilise les derniers développements de la biotechnologie et de la biochimie et propose des soins pour le visage : lifting sans chirurgie, microdermabrasion, mésothérapie ou encore oxygénation du visage ainsi que différents traitements pour le corps. Tatiana commence par un check up de votre peau et vous propose ensuite avec sa plus grande expertise un traitement adapté à vos envies et vos besoins. Des thérapies combinées sur-mesure avec pour résultat une peau régénérée, régulée et remodelée pour des résultats visibles et durables. Autant de solutions pour prendre soin de soi dans un environnement idéal.

Avant Garde, Une Mode Pointue Au Coeur de Genève.

Nichée en plein coeur de la Veille Ville de Genève, au 13 rue Verdaine, la boutique Avant Garde, lieu d’une concrétisation d’un rêve d’enfant, vient tout juste de célébrer sa quatrième année. Cette boutique multimarque à la sélection rigoureuse de designers pointus est une ode au design. Une visite est vivement conseillée dans cet univers purement chaleureux : parquet en bois brut, fauteuils en rotins, coussins colorés, tapisserie exotique signée Matthew Williamson et mobilier vintage. Ici on se veut comme à la maison. Ambiance cocoon garantie.

Passionnées par la mode, Elisabeth et Nathalie vous accueillent du lundi au samedi autour d’un café et écoutent vos moindres souhaits en matière de mode pour ensuite vous orienter dans vos choix vestimentaires. Une équipe soudée qui souhaite continuer à offrir à ses plus fidèles habituées mais aussi à ses nouvelles clientes leur amour des belles pièces. Le duo se démarque par une personnalisation et une attention particulière aux moindres détails. Vous pouvez demander la livraison de vos achats à votre domicile, la sélection d’un pré-choix exclusivement dédié à vos envies avant même votre arrivée en boutique. Chez Avant Garde, les mots maitres sont accueil, écoute et échange.

Un choix de collections toujours plus pointues à chaque saison bien sûr en exclusivité à Genève. La sélection des créateurs reflète un véritable savoir : Laurence Dacade pour la chaussure, Blazé Milano pour son emblématique blazer,  ou encore les fameux jeans R13 pour une silhouette résolument cool.

Dès cette saison, Avant Garde élargit ses collections pour offrir des pièces à tout type de budget et attirer une clientèle plus jeune. On trouve désormais des marques de niche aux matériaux nobles comme Leon&Harper à des très prix attractifs. Une équipe attentive capable à la fois de s’adapter à une clientèle exigeante et aux tendances du marché.Avant Garde inaugurera prochainement son site de vente en ligne. Le site offrira des références exclusives en Prêt a Porter et accessoires. Avant Garde signe ici une belle complémentarité entre la vente en boutique et la vente en ligne souhaitée par ses clientes. On retrouve une sélection mode différente de l’offre en boutique, des pièces plus simples, plus abordables mais aussi des best-seller.

À noter dans vos agendas, le 24 mai 2018, Avant Garde vous invite au vernissage de l’exposition “Little Alyaa  & Fashion” de l’artiste Alyaa Kamel. Des illustrations spécialement dédiées à l’univers de la mode, à découvrir rapidement !

 

Photos : Jeremy Spierer

The Weekend Escape at Clinique La Prairie.

Clinique La Prairie is THE unique pioneering medical retreat that combines the innovative science and holistic wellness with the traditions of the Swiss hospitality. I have always wanted to visit this exclusive legendary Swiss clinic for longevity and wellness. It was on my top list of destination I wanted to experience in my life. My expectations were met; I found everything I was looking for at Clinique La Prairie. A unique combination of exceptional healthcare and wellness, a fabulous spa, an excellent skincare product line, an innovative dietetic gourmet restaurant and on the top of that a service of 5 stars hotel!

Located in Montreux, on the Swiss Riviera, Clinique la Prairie enjoys an exclusive location facing the Lake Leman. The establishment offers nine medical and wellness programs which lasting between five to six days. For those who are living not far away, Clinique La Prairie have launched recently “The Week End Escape program”.

Thanks to this new program, I could participate in an unforgettable healthy weekend. A unique experience in a lifetime.

Once passed the main entrance of La Clinique, there is an magnificent garden that makes you already feel that is the perfect place to relax and disconnect.

For the history… In 2016, Clinique La Prairie celebrated its 85 years anniversary. In 1931, brilliant Professor Paul Niehans first introduced treatments using cellular therapy to stimulate the immune system. He has treated more than 5000 patients over the years. Then, the clinic became internationally recognized following the treatment given to Pope Pius XII.

I was perfectly welcomed on a Friday afternoon among flowers, fountain, fresh air, views of the lake and the Alps. This is what I call Heaven.

With my wellness program in hand, I was ready to jump on my weekend. From dietetic gourmet and vegan meals to personalized body Thai massage and facial treatments (a real deep and fantastic facial!), with a private intense workout session – a hard mix of core exercises and Pilates at the Health Club, (merci Alex!) I have been enjoying so much this exclusive place.

The entire team is carefully attentive for each of your needs. Discretion and exclusivity are the key words in this quiet environment.

Clinique La Prairie works with an exclusive skincare line based on iris, a vegetal cellular formula. Called Swiss Perfection, a blue and white packaging, a light texture and the smell of the iris remind this intimate place in the heart of Switzerland.

I will be back very soon! CP.

 

Picture credits: Jeremy Spierer

Rencontre avec Simon Luginbühl au Polo Club De Veytay à Mies. Découverte.

Ou es tu né et où as tu grandi? 
Je suis né à Genève, mais j’ai toujours vécu ici à Mies, au sein du Polo Club de Veytay.

Joueur professionnel de polo, manager du Polo Club de Veytay, et organisateur du Jaeger LeCoultre Polo Masters, raconte nous ton parcours.
Le tout s’est fait assez naturellement et progressivement, à la suite de mon père qui a développé le polo à Veytay il y a bientôt 30 ans. Petit j’ai d’abord joué au football, et je n’ai commencé à monter à cheval et à taper la balle que vers 12 ans. J’ai continué à pratiquer les 2 sports parallèlement pendant une dizaine d’année, mais le polo a rapidement pris le dessus ! En ce qui concerne le côté organisation des événements et gestion de l’entreprise, j’ai toujours eu beaucoup de plaisir à aider mon père après l’école, les weekends et durant les vacances. Jusqu’en 2007 nous engagions également chaque année un polo manager externe pour gérer l’école de polo et organiser les matches. Durant mes dernières années d’université (Masters en relations internationales à Genève), j’ai repris ce poste, et je ne l’ai plus quitté depuis ! J’ai également repris l’exploitation agricole familiale en 2010, ce qui faisait un peu beaucoup à gérer tout seul ; mon frère Martin s’est d’abord joint à moi de 2011 à 2014, puis lorsqu’il a décidé d’aller relever de nouveaux défis, c’est mon épouse Marine qui m’épaule au jour le jour.
Le fait de porter différentes casquettes est très grisant car chaque moment de la journée est différent, et même si certains moments de la saison sont certes très chargés et  peuvent s’avérer épuisants, j’ai beaucoup de plaisir à me lever chaque matin.

Comment es tu entré dans ce sport? 
Au début, je dois avouer que je n’étais pas très intéressé par le côté équitation ; mais dès qu’on m’a mis un maillet dans la main et que j’ai pu commencer à tapoter une balle, j’ai été très vite conquis. Aujourd’hui, c’est le côté tactique ainsi que la relation avec le cheval et la gestion de son quotidien (soins, nourriture, entraînements) qui me procure le plus de satisfaction. Le fait d’avoir un super groupe de jeunes joueurs avec qui s’entraîner a également beaucoup contribué à développer cette passion grandissante.

Quels adjectifs utiliserais tu pour caractériser ce sport? 
C’est difficile de n’en choisir que quelques-uns mais je dirais : rapide, technique, excitant, complet et chronophage !

Ta famille est soudée autour de ce sport et de ce magnifique club, par qui cette passion commune est elle arrivée et comment? 
En effet, cette passion est aujourd’hui commune à tous les membres de la famille peu importe leur âge. A la fin des années 1980, mon père a décidé de partir en Argentine pour s’occuper d’une exploitation agricole près de Cordoba, avant de reprendre le domaine familial ici à Mies. Il est revenu avec trois chevaux de polo et un argentin, c’était le début de l’aventure ! Aujourd’hui c’est grâce à lui (ou de sa faute) si on vit, parle, respire polo ici.

Le polo est un sport très physique, est ce que tu as une hygiène de vie particulière?
Je monte à cheval tous les jours, que ça soit en entraînement, match ou pour donner des cours. Le cardio est également assez important, mais je dois dire que comme j’ai des journées ou je bouge beaucoup, je n’ai pas toujours le courage et l’envie d’aller courir ! Les étirements sont également primordiaux afin d’éviter les blessures. Là où je dois faire plus attention depuis quelques années c’est plutôt sur la nutrition, car j’ai toujours été assez gourmand. Plus sérieusement, la plupart des gens pensent que dans le polo c’est surtout le cheval qui se fatigue, ce qui n’est pas faux. Par contre, pour avoir également pratiqué le football, je peux vous assurer que je suis beaucoup plus fatigué après un match de polo qu’un match de foot !

Peux tu nous décrire une journée type de joueur de polo professionnel?
Les miennes sont un peu différentes du fait de mes différentes casquettes, mais quand je pars en tournoi à l’extérieur, elles sont assez routinières en fait : on commence par aller le matin aux écuries pour voir les chevaux, discuter avec son groom et gérer avec lui les différents soins. On assiste ensuite son groom lors de l’entraînement, puis on se retrouve avec ses coéquipiers à midi pour partager un repas et discuter de la tactique du prochain match. Après une bénéfique courte sieste, on se déplace au terrain pour le match. Une fois celui-ci terminé, on retourne aux écuries pour superviser les soins d’après-match (douche, bottes de glace, bandages de repos).

Combien de matches as tu réalisé depuis tes débuts, quel est ton plus beau souvenir?
C’est une bonne question, je crois n’avoir jamais pris le temps de compter !
Mais je pense environ 70-80 matches par saison, soit environ 1500 matches depuis mes débuts. J’ai énormément de très bons souvenirs, mais je pense que notre victoire en 2009 lors du Jaeger-LeCoultre Polo Masters « en famille » avec mon frère, mon père et Alexis, un ami uruguayen est l’un des meilleurs moments, tout comme nos différentes participations mon frère et moi aux championnats d’Europe avec la Suisse.

Quels  joueurs admires tu? 
Je n’ai pas de joueur favori que j’admire particulièrement ; je prends beaucoup de plaisir à voir jouer les meilleurs joueurs du monde comme Adolfito Cambiaso, Facundo Pieres ou Hilario Ulloa. Plus jeune par contre, j’étais un grand fan de Bartolomé Castagnola, j’ai même porté le même casque et les mêmes bottes que lui pendant quelques années. J’aimais son côté un peu fou sur le terrain et son style décalé et rustique qui jurait avec les autres joueurs, avec ses pantalons troués et ses bottes à scratch.

Ton prochain match?
Ce weekend à Moscou, pour l’International Cup. C’est un magnifique club où j’ai toujours beaucoup de plaisir à aller jouer, et où la famille Rodzianko nous réserve toujours un excellent accueil.

Est ce que tu as d’autres passions?
Côté sport, je suis un passionné de hockey sur glace, et je suis un grand fan du Geneve-Servette Hockey Club. Même si c’est un sport que je n’ai jamais pratiqué, je lui trouve beaucoup de similitudes avec le polo, comme la vitesse, l’équilibre, la rudesse et le respect de l’adversaire. La saison étant également inversée par rapport à celle du polo, ça me laisse plus le temps de suivre les matchs que ceux d’un autre sport. Sinon, l’hiver étant un peu plus tranquille pour nous, mon épouse et moi en profitons pour voyager et découvrir ensemble de nouveaux endroits dans le monde.

Quels conseils donnerais tu a un joueur de polo débutant?
Le côté « équitation » est vraiment primordial. Si on est pas cavalier, il faut passer des heures dans la selle, même si ça n’est pas sur un cheval de polo, mais lors d’un cours de saut, ou d’une autre discipline. La discipline et la persévérance sont également importants ; on ne pourra jamais devenir un bon joueur de polo si l’on ne s’entraîne pas une fois par semaine au minimum.

Quels sont tes projets et défis pour les années à venir?
C’est une bonne question. Le monde du polo évolue, et aujourd’hui je pense que les belles années du polo, où les joueurs disposaient de budget sans fond, sont révolues. Il faut aujourd’hui proposer un service clé en main et à la carte, comme cela se fait dans d’autres sports. La plupart des clubs de polo possèdent aujourd’hui un grand nombre de chevaux disponible à la location à l’heure, ou même à la période de jeu pour les clients occasionnels qui ne possèdent pas leurs propres montures. Mais cela a un coût énorme pour les entreprises qui mettent ces services en place. En ce qui concerne le Polo Club de Veytay, je pense que l’avenir se tourne vers le polo événementiel ; c’est-à-dire l’organisation de tournois comme le Jaeger-LeCoultre Polo Masters, qui fonctionne très bien et qui peut être encore développé, ou par des événements d’entreprise où l’on propose des initiations, matches de démonstration ou encore des asados (grillades argentines typiques). Nous avons de plus en plus de demandes d’entreprises à la recherche d’un bel endroit pouvant accueillir de 10 à 2000 convives. Cet été par exemple, nous avons eu deux événements pour plus de 700 personnes, et nous avons déjà un grand nombre de réservations pour 2018.

 

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Crédit Photos: Jeremy Spierer

En voyage avec la créatrice et exploratrice Nalotuesha.

Découverte.

Nalotuesha signifie en maa “tout ce qui arrive après la pluie, quand le soleil brille à nouveau et que l’herbe reverdit, les fleurs poussent”. Femme créatrice et aventurière, elle œuvre sous la marque Ring My Deel.

La créatrice est née la même année que le slogan “sous les pavés la plage”, elle voyage tout le long de son enfance. A l’âge de 7 ans, elle suit son père un chasseur en Afrique. Ce pays imprègne ses souvenirs d’enfance. Plus tard, à 18 ans elle traverse l’Inde en bus public. Ensuite, à Bornéo l’aéroport vient à peine d’ouvrir, elle se retrouve au milieu d’indigènes étonnés de voir une femme blanche.

Nalotuesha nous transporte aux quatre coins du monde avec des récits captivants de ces voyages.

Après 17 ans de mariage où elle a pris soin de son foyer, ses enfants entrent en pension, et Nalotuesha repart alors vers les contrées lointaines. L’aventurière séjourne plusieurs années dans une tente dans un camp africain. Elle nous raconte “j’ai eu ensuite ma propre tente, un vieux defender puis les massai m’ont demandé de prendre soin de l’école que j’ai construite avec eux”. Un souvenir inoubliable. “Je rentrais souvent en Europe pour mes enfants, où j’ai pris des cours avec la Croix Rouge pour approfondir mes connaissances en construction de puits, qualité de l’eau, hygiène, premiers soins, et gestion de situation d’urgence”.

En 2015, Nalotuesha part explorer pendant plusieurs mois les steppes de Mongolie à cheval. C’est à partir de la que va naître l’idée de créer les Deels. Ces manteaux fabriqués sur mesure sont encore portés par les mongols pour monter a cheval ou en tenue de ville. La créatrice s’inspire de cette culture qu’elle découvre. “A mon retour, je les portais sans cesse à cheval, pour des dîners, ils ont eu beaucoup de succès”. Ensuite, Nalotuesha réalise son premier pop-up à Gstaad en Suisse dans un hôtel mythique. Les deels font sensation.

Les deels collection été sont en soie doublés soie et ceux d’hiver sont en soie doublés cashmere. La créatrice s’occupe de prendre les mesures, elle choisit l’assemblage des tissus et des couleurs. Elle reprend des motifs anciens que l’on trouve au musée d’Oulan-Bator. Il faut compter ensuite deux à trois semaines pour la livraison.

 

Pour plus d’informations : Ring My Deel

Credit photos: Pascaline Photography, Christine Tardy.

Note from the Editor.

Bienvenue sur notre blog,

Cécilia la fondatrice de l’agence partage sur notre blog des lieux de vie, des expériences traversées, des rencontres avec les personnes qui jalonnent son parcours privé et professionnel de la Provence à la Suisse en passant par Tahiti, St Barth et New York.

Nous remercions notre agence web Suisse Heed pour ce projet. Le site est admirablement réalisé sous forme de magazine très épuré.

Chaque semaine retrouvez des interviews et des rencontres de personnes influentes dans leur domaine, d’amis, de clients et nos My Lola Travel Escape.

 

Welcome to the blog of My Lola PR,

Cecilia, the founder of the agency shares on our blog locations where she spends her time, experiences, meetings with people who marked her private and professional life from Provence to Switzerland via Tahiti, St Barth and New York.

We thank our swiss web agency Heed for this project. The site is beautifully realized to achieve a refined magazine look.

Every week, you will find interview and meeting of influential people, friends, clients and our My Lola Travel Escape.

 

Pic credits: Jeremy Spierer, Michael Gramm and Cecilia

Jeremy Spierer. Shooting et Street Art à Genève.

Rencontre au bord du Léman avec le photographe Jeremy Spierer.

 

Diplôme de l’école d’avocature de Genève et d’un diplôme de Duke university of Law, tu exerces tes talents d’avocat au service légal d’une grande banque, mais peux tu nous dire d’ou vient ta passion pour la photographie ? 

Mon papa me raconte souvent cette histoire. J’étais au cirque avec lui quand j’étais enfant et après le spectacle il m’a demandé qu’est ce que tu as préféré. J’ai répondu la lumière. Depuis tout petit, je suis fasciné par les belles lumières et ca m’a poursuivi jusqu’au jour ou j’ai décidé d’apprendre la photo. J’ai appris seul et je suis très vite descendu dans la rue. La, j’ai photographié les gens ou je vis et lors de mes multiples voyages en Israël, en Amérique du sud, en Europe et bien sur a Genève ou je vis. En 2012, j’ai gagné le 1er prix de la photographie de Paris pour ma série “Faith on the Jordan River”. Cela m’a conforté encore plus dans l’idée que je devais poursuivre dans ma passion.

 

Quel est ton terrain de prédilection ?

Définitivement la rue. J’adore photographier dans la rue, dans des endroits que je ne contrôle pas parce que c’est la que les plus belles choses peuvent se produire de manière instantanée. Quand on laisse aller à l’aléatoire, on a souvent des miracles qui se passent. Il faut être prêt à capturer ces instants, les anticiper, savoir les repérer, avoir les bons outils et ensuite les figer a jamais dans le temps. C’est ce que je fais, j’essai de capturer des moments et de les partager.

 

Le Leica, objet de légende,  peux tu nous dire pourquoi aimes tu photographier avec  ?

C’est mon objet fétiche, il fait partie de moi, c’est l’extension de mon œil et de mon bras. Je l’ai adopté et il est venu a moi comme une évidence. C’est bien sur un objet de légende porté dans les mains des plus grands maitres de la photo et je voulais ressentir cette expérience. Il est parfait pour moi car il est compact, très ergonomique, confortable et beau. Les images sont magnifiques, les couleurs sont d’une rare précision et les optiques justes somptueuses. Il est inégalé aujourd’hui dans ce format et je ne m’en séparerais jamais.

 

Ton style, le Street Art? 

Je ne me limite pas à un type de photo mais je veux toujours faire de l’art. Dans la rue, je peux capturer tant une figure abstraite qu’un portrait. Je photographie  des moments instantanés de vie urbaine. Je suis également sensible à la mode, aux belles femmes donc le mieux c’est de les mettre dans la rue avec des beaux habits et de les photographier quand elles ne s’y attendent pas ! Cela me permet de garder mon style spontané en ajoutant un élément de luxe et de mode.

 

Quelles sont tes inspirations et d’ou viennent elles ?

Mes inspirations viennent de plusieurs sources tant de la peinture de certains grands maitres, en particulier les impressionnistes, que du street art contemporain (collage, graffitis etc.). J’adore Monet et Pissaro. Au début du 20ème siècle, ces peintres ont aussi retransmis des moments spontanés de la vie quotidienne. Ces œuvres que j’ai vu dans des musées m’ont beaucoup inspiré et j’ai voulu ensuite les reproduire à ma façon au moyen de la photographie. J’ai bien sur quelques grands maitres de la photo qui me touchent particulièrement Helmut Newtown, Ellen Von Unwerth, Sergio Larrain, Henri Cartier Bresson. Je m’inspire de belles choses, mais je laisse bien sur cours à mon imagination et au naturel.

 

Tel Aviv est ta deuxième maison après Genève , peux tu nous dire en quoi cette ville t’inspire ?

Tel Aviv est pour moi une ville dans laquelle je me ressource. C’est une ville vibrante, vivante. Je passe quelques jours la bas tous les trois mois. Cela me donne plein d’énergie et d’envies. Les gens sont tellement ouverts, je fais à chaque fois de belles rencontres. C’est une ville qui ne dort jamais, pleine d’art, de culture et d’amour. Je ne m’en lasse pas j’y retourne le plus souvent possible.

 

Tu as exposé le 8 juin dernier à l’espace Foound à Genève. Raconte nous. 

J’ai exposé à Genève en 2015 au Bal des Créateurs  le 1er volet de l’exposition Urban Decay avec Eliran Ashraf, un designer mode israélien. Le deuxième volet a eu lieu le 8 juin dernier a l’espace Foound. Des photos d ‘affiches que j’ai prises dans la rue au hasard de mes voyages, des affiches déchirées par le temps, une décomposition urbaine, des portraits de femmes que j’ai photographié dont Eliran s’en est inspiré pour créer des patchworks de textile et des habits qui répondent aux photos. CP

 

Quels sont tes prochains projets? 

Une exposition à New York au printemps prochain. 🙂

Actuellement, je travaille avec l’agence My Lola PR sur une série de photos de scènes artistiques intégrant le luxe dans des moments de la vie quotidienne particulièrement en suisse. Nous avons intitulé ce projet The Swiss Daily Luxury.

 

profile pic Jeremy by Victor Bezrukov

Swiss Daily Luxury The Picnic Chic

Swiss Daily Luxury est une série de photos de scènes artistiques intégrant le luxe dans des moments de la vie quotidienne particulièrement en Suisse. Ce projet est à l’initiative du photographe Jeremy Spierer et Cecilia Pelloux de l’agence de communication My Lola PR. Chaque prise de vue se focalise sur un thème différent dont l’objectif est de raconter une histoire.

Le Picnic Chic fait suite à l’After Party. La maison rémoise Veuve Clicquot, le joaillier Bulgari et Mercedes AMG avec le Groupe Chevalley ont été les partenaires de ce projet. Les accessoires proviennent de l’enseigne Schilliger et les fleurs de la boutique Kalis à Genève.

L’artiste a su capter l’atmosphère printanière, raffinée et joviale de ce pic nic chic.

Jeremy Spierer est né a Genève. Avocat de formation, il exerce actuellement au sein du service légal de la BNP Paribas. Jeremy a reçu trois prix remarqués dans le monde de la photo dont le premier prix de la photographie de Paris en 2014 pour sa série « Faith on the Jordan River ».